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Orpierre
Hautes Alpes
( entre Gap et Sisteron )
Du samedi 19
au samedi 23 avril 2011 |

Une partie du
groupe

Le village
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Village provençal, tout de ruelles et de venelles
composé, où au bord d'une placette l'on finit par découvrir
notre gite.
A 700m d'altitude, les nuits restent fraîches.
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Eléments du
village. |
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La rue principale et ses
maisons où l'on finit par trouver quelques dates. Elles sont
bien plus vieilles que nous ( quelques siècles ). |
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La place à la fontaine que nous
empruntions tous les jours pour regagner le gite |
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Notre
gite
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En plein cœur du village, ancien
et dont le rez-de-chaussée vouté nous servait de séjour cuisine. |
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La cuisine.
Peu de place pour les femmes ...
ça ne s'invente pas.
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Vie locale |
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Sportifs mais dignes quand même
et pas du tout asociaux.
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La terrasse du café.
Peu de place pour les hommes,
ça ne s'invente pas !... |
Première grimpette : Agnielle ,
avant même d'arriver.
Site trouvé au bord de la route à
quelques kilomètres de notre destination finale..
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Quelques voies sur
une falaise école de dimension modeste où nous pouvons commencer
à faire nos premières armes. |
Dimanche : découverte du site
d'Orpierre par le secteur des : " 4 heures "
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Belle falaise bien exposée et fréquentée. Nous devons choisir
nos voies en fonction de ce qu'il reste ou patienter un peu.
Ambiance très internationale. Nous côtoyons surtout belges,
anglais allemands et néerlandais. |
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Nous finissons
presque tous par le grand pilier coté 6a toutefois très
accessible mais terriblement haut ( par rapport à nos standard.) |
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Lundi : grande voies dans le secteur d'Ascle
Premières vraies
grandes voies comportant 4 à 5 relais à partir desquels nous
alternons ( le grimpeur en second arrivé au relais passe devant
et ainsi de suite. Cette façon de faire permet à tous de grimper
en tête ). |
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Pourtant plutôt lève-tôt habituellement ( par
rapport aux "autres jeunes" qui peuplent la vallée,) nous
n'arrivons pas les premiers. Nous attendons notre tour en
démêlant une corde qui se révèle interminable : la grandeur de
la montagne a aussi ses petites misères.
Beaucoup de hauteur et une belle vision de
l'ensemble de la vallée.
Dernier pas, assez acrobatique, sur un petit bloc
juste en dessous du sommet en arête. |
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Mardi : pause touristique pour une partie du groupe
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Laragne, sa rue principale, sa
coiffeuse Faby |
Une partie de sa population. |
Gorges du Méoudre |
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Rozans : petit bourg qui vit à l'heure d'autrefois. On s'est
assis sous le platane avant de voir le jaune curé avec sa
soutane discuter de façon affable avec les veilles dames qui
étaient là. Comme dans un film d'époque.
On
a regretté de ne pas avoir pris un magnétophone car les oiseaux
du printemps nous offraient un concert que l'on avait bien envie
d'exporter.
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Serre, juste à l'écart de l'axe routier. Quelques
pas et l'on se retrouve dans ses ruelles. |
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Pause touristique, mais pas pour tous....
quelques irréductibles ont poursuivi leur grimpe dans le secteur des
dames...
Mercredi 20, grand départ pour l'Adrech
Jeudi 22 : pseudo break. On va
sur une via-ferrata de "la grande Fistoire", carrément sportive.
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Après midi plus soft, à Sisteron.
Nous repartons par la vallée où quelques martiens
aspergent les cultures d'une pluie qui ne donne pas envie de
s'attarder.
Puis repos, tranquille, au bord de la Durance
pour bain de pied et pique-nique. |
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Sisteron,, au confluent de la Durance et du canal du midi.
Sa
citadelle, ses rues étroites, et même un peu de luxe qui pointe
son nez dans ce bourg qui évoque déjà le midi. |
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Dernier jour vendredi
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Le Quiquillon, rocher
mythique qui domine le village. Qui n'en a rêvé ?
Ils l'ont fait...
La plus longue falaise du séjour, nombreux
relais avec un passage qui laisse des souvenirs. |
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